Témoignages

 

 

Voici le témoignage personnel, celui de « Chantal » et les évènements qui m’ont amenés à Christ

Je suis née dans une famille chrétienne en février 1963, au cours d’une froide nuit d’hiver verglacée (mon père a mis beaucoup de temps à aller chercher la sage femme qui devait aider ma mère à accoucher à la maison…). Mais la protection de Dieu était là, sachant que ma mère, dès le 3e mois de grossesse ne pouvait plus se rendre à l’église à cause de douleurs abdominales énormes : elle avait en fait des kystes sur un ovaire, il faut dire aussi qu’à l’époque, mes parents n’avaient pas de voiture et se déplaçaient à pieds. Il leur fallait ¾ d’heure pour s’y rendre.
Cependant, un mois après ma naissance, toute la famille se retrouvait sur les bancs de l’église (j’ai deux frères aînés).

J’ai eu ce privilège énorme de naître dans une famille chrétienne, d’autant plus que mon père est ancien dans l’église, son père était président des assemblées polonaises du Nord de la France, et son grand-père, donc mon arrière grand-père avait fait une rencontre personnelle avec Jésus, et avait partagé son expérience avec ses amis… qui sont devenus chrétiens à leur tour. Cependant, tout cet héritage ne faisait pas de moi une chrétienne engagée, puisqu’on sait que Dieu a des enfants, mais pas des petits ou arrière petits enfants !

Remarque : Mes deux frères sont également dans cette même église. L’aîné est pasteur de l’église, le second est ancien. Je suis pour ma part « impliquée » dans la louange dans la mesure où j’accompagne la louange au piano et je fais partie d’un groupe de chantres dans une autre église.

J’ai donc grandi (physiquement et spirituellement) dans cette église. Vers l’âge de 10 ans, alors que toute l’église se réunissait tous les soirs depuis quelques semaines, pour prier, pour rechercher la présence du Saint Esprit, pour être baptisé du Saint Esprit, j’ai moi-même eu cette soif de recevoir. Et le Seigneur m’a baptisée de son Saint Esprit qui m’a visitée avec beaucoup de douceur.

Vers l’âge de 15 ans, voyant les autres personnes s’engager avec Dieu par le baptême d’eau, j’étais interpellée moi même et me posais la question par rapport à mon engagement personnel en pensant au baptême. Mais je n’avais pas compris et vécu la repentance… et les années ont encore passé, jusqu’à l’âge de 20 ans où une personne de l’église a eu l’idée d’organiser un week-end pour les jeunes. J’avais envie d’y participer avec la crainte d’y aller. J’étais à l’époque étudiante et je logeais chez une copine chrétienne. Tous les soirs, nous priions pour la bénédiction sur ce camp, donc moi aussi je priais dans cette direction, et en même temps, j’essayais de trouver une excuse pour ne pas m’y rendre. J’en discutais avec Gérard, l’un de mes frères, en lui disant : « tu sais, Gérard, je ne pense pas pouvoir aller au camp ! » – « ah bon, pour quelle raison ? » – « tu comprends, les parents n’ont pas trop les moyens, et ça va leur coûter ! » – « oh, mais s’il n’y a que ça, je te le paie ! » !!!

La seule excuse que j’avais trouvée pour ne pas m’y rendre tombait à l’eau. Alors j’y suis allée ! et au tout début de ce camp, j’ai eu un choc : en effet, une amie de mon âge dans l’église, avec laquelle je partageais beaucoup, s’était levée pour rendre ce témoignage : « le Seigneur m’a touchée ! ». son visage était en larme. J’ai eu un grand choc : elle avait reçu, et moi aussi je voulais recevoir. À partir de ce moment, je priais plus ardemment. Et le camp s’est déroulé jusqu’au dimanche après-midi, la dernière réunion. Je me souviens ne rien avoir écouté du message, je n’avais qu’une hâte, c’est que l’appel ait lieu et que je m’avance. Effectivement il a été annoncé, … et je me suis précipitée vers l’avant (bousculant ma belle sœur au passage, tellement pressée de m’avancer) ! Et là, j’ai été renouvelée dans le parler en langue, que je ne pratiquais plus depuis quelques temps. Mais le temps de prière s’écoulait, je n’avais pas envie qu’il s’arrête, et d’autres avaient envie de partir. Il a alors été proposé à ceux qui voulaient partir, de partir et aux autres de continuer à prier dans un autre local. Nous n’étions pas resté très nombreux, tout au plus une vingtaine. Et j’ai ressenti pendant ce moment que Dieu voulait me donner une grande famille. J’ai pourtant deux frères aînés, de nombreux cousins et cousines ! mais Dieu voulait me donner une grande famille.

Le lendemain, les cours reprenaient, j’étais donc également de retour chez mon amie chrétienne. Dès que j’avais un moment de solitude dans l’appartement, je priais, je recherchais la face du Seigneur, mais très pudique, je ne voulais pas lui montrer ma recherche spirituelle, et je ne lui ai rien dit de tout cela. Et les jours se sont écoulés jusqu’au vendredi de cette même semaine. Je savais que ce soir là, je serai seule à l’appartement, puisque cette amie était rentrée chez ses parents. Et dans mon cœur, il allait se passer quelque chose ce soir là. Ce serait ce soir-là ou jamais !

Je faisais le trajet de retour du lycée en bus, et il me restait 10 minutes à faire à pied jusqu’à l’appartement. Pendant le trajet, un chant résonnait en moi. Un chant interprété par « les pèlerins de Montbéliard » que je refusais d’écouter auparavant : « reviens mon enfant ce soir, reviens mon cœur est prêt, je veux te revoir, reviens mon enfant ce soir ». Cependant, ce soir-là, je le laissais chanter !

Puis je suis rentrée dans l’appartement, j’ai vaqué à diverses activités… puis je me suis mise à prier. « Tu vois Seigneur, toute la semaine je t’ai prié… » Je ne savais pas trop ce qui m’attendais, mais je désirais vivre quelque chose, comprendre… et je me suis vue dans une situation, une vision animée en quelque sorte. J’étais entourée d’une grande foule, énormément de monde devant moi, sur les côtés, il devait y en avoir énormément encore derrière. Devant nous, il y avait trois croix. Et la foule criait « crucifie, crucifie-le ! » de plus en plus fort. Et j’en faisais partie ! Jusque là, je me disais « mes parents sont chrétiens, ils nous ont élevé avec des principes chrétiens « ne mens pas, ne vole pas, respecte ton prochain… », principes que j’avais essayé de respecter. Alors je me disais « Jésus est mort, OK, mais il est mort pour les autres, pas pour moi !

Mais à travers cette vision, les choses étaient remises en place : j’avais fait partie de ceux qui ont crucifié Jésus. Alors, paniquée, je ne voulais plus voir cette vision. Ma prière suivante était : « Seigneur, je ne veux plus voir cela, mais si tu m’acceptes comme ton enfant, donne moi une preuve… j’aimerai tellement chanter quelque chose pour toi… ». Et j’ai continué à prier. Et une mélodie est venue. Puis j’ai continué à prier en langues, et j’ai parlé en plusieurs langues. Mon Dieu venait me donner non pas une, mais plusieurs confirmations qu’Il m’acceptait comme son enfant ! Alors, à la fin de ce temps de prière qui a duré un certain temps (combien, je ne sais pas : j’ai commencé à prier, il faisait clair, j’ai terminé de prier, il faisait noir), j’ai dit à mon Dieu : «à cause de ce qui s’est passé, je décide de te donner ma vie, je veux être baptisée d’eau ! ». A ce moment, j’ai ressenti qu’il y avait beaucoup de joie au ciel parce qu’un pêcheur s’était converti ! J’ai été baptisée d’eau le 5 juin 1983 qui a suivi…

Puis le temps a passé. Et à partir de 1992, j’ai commencé à participer à des camps chrétiens (mes vacances se passaient dans des camps) où je pouvais me ressourcer spirituellement. Et je sais que je me suis emparée d’un héritage spirituel que je n’aurais pas eu autrement.

Je participais à des camps et je me disais « je rencontrerais peut-être là mon futur mari ! » puisqu’il n’y avait aucun célibataire dans mon église pour moi, sachant également que cette pensée n’était pas ma priorité pour participer à un camp. Mais le Seigneur m’a encouragée, à travers des pensées qu’il m’a mises à cœur, ou qu’ll m’a transmise par ses serviteurs pour m’encourager !

Alors, voici les différents évènements qui nous ont amenés l’un vers l’autre, Jérôme et moi.
Voici les évènements qui m’ont amenés vers Jérôme

Dimanche 4 septembre 1994

J’étais seule, en train de prier chez les parents

Pour quelles raisons, j’ai cessé de demander au Seigneur un mari, mais je l’ai remercié pour celui qu’Il me donne, et qu’Il m’a donné, Il le sait.
Je l’ai remercié pour le travail que nous ferons ensemble, en étant des leaders ! Qu’Il puisse être honoré dans tout ce que nous ferons !

Michel Allard – il m’a laissé ces versets d’encouragement
le 1er novembre 97 à Roubaix (week-end jeunes)

Romain 8 v 37
Mais dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés.

Esaïe 43 v 18 19
Ne vous souvenez-vous pas des premiers événements ? et ne considérez plus ce qui est ancien.
Voici que je fais une chose nouvelle, elle est maintenant en germe, ne la reconnaîtrez-vous pas ? Je mettrai un chemin dans le désert et des fleuves dans la terre aride.

Jérémie 29 v 11
Je connais, moi, les desseins que je forme à votre sujet, oracle de l’Éternel, desseins de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir fait d’espérance.

Jérémie 33 v 3
Invoque moi, et je te répondrai ; je t’annoncerai de grandes choses, des choses cachées, que tu ne connaissais pas.

Romain 4 v 21
pleinement convaincu de ceci : ce que Dieu a promis, il a aussi la puissance de l’accomplir.

En janvier 1998, je suis passée par une période de blues extraordinaire, très intense, parce que j’étais toujours seule, célibataire. Je ne comprenais plus rien. Je ne comprenais pas pourquoi j’étais toujours célibataire.

Ce blues a duré environ 4 semaines. A tel point que certains dimanches dans l’église, je n’arrivais même plus à chanter (habituellement, j’accompagne au piano et je chante). Une fois, à la fin du culte, Anne, ma nièce est venue me voir pour me demander si j’étais malade ! je cherchais la consolation dans la parole de Dieu, et j’ai eu des paroles d’encouragement, je priais, et j’avais l’impression que le ciel était fermé !
voici les paroles d’encouragement que j’ai pu lire et qui m’ont tellement encouragée en janvier 1998 (quand je lisais ces paroles, elles étaient comme un baume sur le cœur. Je les lisais et les relisais, et plus je les lisais, plus elles me faisaient du bien !)

Job 8.21
Bientôt il remplira ta bouche de cris de joie et tes lèvres d’acclamations.

Job 11.18
Tu seras plein de confiance, car il y aura de l’espérance (version Segond : et ton attente ne sera pas vaine).

Livre d’Esther (24 janvier)
Elle ne pensait pas devenir reine, ce n’est pas ce qu’elle avait prévue, et pourtant elle a été choisie pour le devenir, elle a accepté, et à cause d’elle, son peuple a eu la vie sauve !
J’ai pu partager avec ma collègue de travail, Gisèle, ma souffrance : je n’en pouvais plus de ma solitude, de ma vie de célibataire. J’avais parfois du mal à retenir mes larmes, j’essayais de les contenir devant les autres collègues, mais avec elle, je me sentais un peu plus libre de le faire.

Un dimanche après midi, je suis allée chez ma belle-sœur et mon frère, Eliane et Gérard, (je me suis invitée, ce n’est pas dans mon habitude de le faire, c’est même rare que j’aille chez eux !). J’avais trop besoin de parler et trop envie de pleurer, et je ne voulais pas craquer devant mes parents. Je me suis complètement effondrée chez eux, j’ai d’ailleurs eu beaucoup de mal à commencer à parler tellement je pleurai. J’ai vu qu’ils souffraient en me voyant, mais ne savaient pas quoi me dire. Mais ça m’a fait du bien de parler. Je me souviens leur avoir dit « mais est-ce que je parais être un iceberg, pour que les gars n’osent pas s’approcher de moi ? »

Je ne comprenais plus rien. Michel Allard m’avait laissé le verset de Jérémie 33 3. Et je priais chez moi, au pied de mon lit, je répandais ma souffrance devant le Seigneur, et j’avais l’impression que rien ne bougeait, que le Seigneur ne m’entendait pas,. Pourtant, en priant, le Seigneur m’avait laissé des versets si réconfortants, qui étaient un baume incroyable sur le cœur : plus je les lisais, plus ils me faisaient du bien (« Bientôt il remplira ta bouche de cris de joie et tes lèvres d’acclamations – ton attente ne sera pas vaine »). Les paroles étaient prononcées au futur, et pas au présent. Alors je saisissais qu’il me fallait encore attendre. Mais j’avais besoin de davantage, de comprendre clairement le message du Seigneur.

– lundi 16 février 1998 (jour de mon anniversaire) : quelques jours plus tard

– j’avais été contactée 10 jours auparavant par Djamel DAHMANI de l’église de Roubaix pour faire partie de l’équipe de chantres de l’église, et la répétition avait lieu le jour de mon anniversaire. Je me suis dit à l’époque que le Seigneur ne voulait pas que je passe ma journée toute seule. Et en fait, quand j’y suis allée pour 20 heures, je n’étais pas tellement en état de donner mais j’avais plutôt besoin de recevoir. J’ai prié avant que nous ne répétions, comme les autres ont pu le faire, et j’ai eu à peine fini que Djamel est venu prier pour moi « Je vais prier pour toi, Chantal ! » Et il fallait entendre toutes les paroles de consolations qui sont venues de la part du Seigneur (Djamel n’était au courant de rien ! ). Je sais qu’elles venaient de Dieu, parce qu’elles correspondaient à ce que je venais de vivre, et d’autre part, des paroles de bénédictions ont été prononcées. J’avais déjà reçu certaines de ces paroles auparavant, Le fait de les entendre venait confirmer et dire, « c’est bien moi qui te parle » ! Voici quelques-unes des paroles prononcées :

• je t’ai vue agenouillée au pied de ton lit en train de prier,
• je t’ai entendu pleurer,
• je t’ai entendu prier, j’ai reçu toutes tes prières,
• j’ai entendu ta requête intime : le Seigneur la connaît, toi Chantal tu la connais, moi , Djamel, je ne la connais pas, le Seigneur ne me l’a pas révélée,
• tu attendais jusqu’à présent, et il ne s’est rien passé, parce que je t’ai protégée, préservée.
• mais sois patiente, j’ai promis (mes promesses s’accomplissent toujours, en leur temps)
• tu vas te réjouir, tressaillir d’allégresse ( il y a des promesses de joie)
• il y a quelque chose de beau qui se prépare,
• il y a des promesses de bénédictions pour toi, et les autres à travers toi
• continue à intercéder pour cela.

C’est tout à fait incroyable. D’autre part, le Seigneur avec tout son amour ne me disait pas « Tu m’as importunée avec toutes tes prières » mais ce que j’ai compris « j’ai tout entendu, j’ai tout reçu, et tu peux continuer à intercéder, tu ne m’importunes pas, au contraire continue ! » J’avais envie de pleurer, après cela, pas de tristesse, mais de gratitude, c’était tout simplement incroyable ! Et après cela, je pouvais chanter !
– quelques jours plus tard : dimanche 23 février : cerise sur le gâteau : appel d’un pasteur, Christian Urbanski qui transmettait le message que sa mère avait reçu du Seigneur. Elle priait au début de cette semaine, pendant la nuit, alors qu’elle n’arrivait pas à dormir – elle ne pensait pas du tout à moi, elle a eu la pensée suivante (qui me concerne) : « J’ai vu tes larmes, mais sois patiente, je te donnerai le compagnon de ta vie » « Chantal, voici encore une confirmation », le message est très clair, on ne peut se tromper, je te confirme bien les choses !

Le Seigneur sait que j’ai besoin d’avoir les points sur les i. Et il a répondu à ma prière par plusieurs personnes
– qui ne me connaissent pas tellement,
– qui ne se connaissent pas du tout,
– mais dont les paroles vont dans le même sens et se complètent, sachant que j’avais déjà reçu auparavant certaines de ces paroles (avec la confirmation certaine du Seigneur : je te donnerai).
J’ai pu partager tout ce qui m’était arrivé avec René, mon frère ainé, et j’ai vu qu’il était heureux de ce qui m’arrive (il se réjouissait de ce que le Seigneur fait !)

Seigneur tu es incroyable d’amour et de sollicitude, de compassion,
combien je suis précieuse à tes yeux, Tu me le dis et Tu me le prouves !!

Tes compassions ne sont pas à leur termes,
mais elles se renouvellent chaque matin.
Oh que ta fidélité est grande !
Ce que j’ai appris dans tout cela : il est bon et nécessaire de partager (sa tristesse, sa joie) avec les autres, [autrement dit, « la famille de Dieu », ça n’est pas un vain mot] :
– au moins, la peine est moins lourde à porter,
– quand on n’en peut plus, ils sont là pour nous porter, et nous apporter au trône de la Grâce,
– quand la réponse du Seigneur vient, ils se réjouissent avec nous (ma belle sœur et mon frère, Éliane et Gérard étaient heureux pour moi pour toutes ces réponses et ces encouragements du Seigneur)

Un an plus tard, j’ai reçu dans le cœur que mon futur mari serait un homme divorcé avec des enfants ! pensée pas facile à accepter, puisque dans mon église, on n’accepte pas le remariage d’une personne divorcée ! mais je me souviens avoir partagé avec un pasteur que le Seigneur allait m’amener à faire des choses qu’on n’avait pas l’habitude de voir dans notre église ! Alors j’ai commencé à prier pour les enfants de mon futur mari, que Dieu l’aide à les élever.

Je pouvais accepter ce principe, puisque j’avais lu un livre de Derek Prince « Dieu est un faiseur de mariage », où l’auteur partage son expérience sur la façon que Dieu a utilisée pour qu’il rencontre sa future épouse, et la révélation, la confirmation qu’il a eue, sachant qu’elle était une femme divorcée, et lui un responsable. Dieu mettait à ses côtés une femme divorcée, et cette femme était un passage obligé pour que son ministère puisse grandir, évoluer ! Impressionnant !

En rentrant d’un camp, alors que je n’avais toujours pas rencontré mon futur mari, j’ai eu cette pensée fortement imprimée « Isaac ». Cette histoire est riche d’enseignement, notamment par le fait qu’Isaac n’a pas choisi Rebecca, mais Abraham a envoyé son serviteur chercher une femme pour son fils au pays. Et Rebecca a accepté, et elle est venue vers Isaac.

J’ai compris que mon futur mari ne faisait pas partie de ma « sphère », mais qu’un serviteur me le présenterait, en me disant (interprétation personnelle) que ce serait certainement un pasteur de passage qui viendrait avec….

1er janvier 2001 -. Paroles d’encouragement transmises par Djamel.

Je retranscris ce dont je me souviens, donc les pensées transmises, pas forcément les paroles exactement prononcées.

• Un mot : « consécration » (mot exact) – ce que je ressens également depuis quelques semaines : le Seigneur attend de moi de la consécration, un engagement plus important dans la prière et la méditation de Sa parole : clé pour la suite des événements.
• Il doit y avoir un changement radical dans ma façon d’être : le temps des larmes c’est fini, ça doit être le temps de la joie. Il faut également arrêter d’être aussi catégorique, exigeante avec les autres, dure avec les autres.
• L’année 2001 est l’année de l’accomplissement de la promesse, ce sera cette année ou jamais. Si je refuse le plan, il n’y en aura pas d’autre. Mais il faut que j’accepte le changement.
• Paroles / Esaïe 54 : promesse / héritage des enfants (je vais être mère, avoir des enfants) – ce que j’avais déjà reçu en avril dernier
• Doriane : il ne faut pas avoir peur des sentiments qui vont naître dans le cœur.
• Djamel : ça va être les 1001 nuits : promesses de réjouissances, un couple heureux d’être ensemble

12 février 2001 – pendant répétition avec le groupe de louange – Djamel

• Voici la grâce est avec toi, car tu vas communiquer la Grâce et l’amour de Dieu. Tu vas recevoir ce don quand tu boiras ce vin nouveau, ce vin d’un grand cru, cette coupe de Dieu. C’est par cette onction que tu vas communiquer la Grâce. Là où tu es, des occasions vont se présenter

samedi 10 mars 2001 – louange prophétique avec Rafaël Fernandez – paroles transmises par Houarria Errachidi

Jésus est celui qui me satisfait pleinement. Rien ne me manque parce qu’Il me satisfait pleinement. Il est mon époux. Et celui à qui Dieu me destine est un chrétien engagé.
Je dois rechercher Sa présence, son intimité. Il veut me rendre sensible à son Esprit, que je puisse entendre le doux murmure de sa voix.

Le Seigneur m’a donné une clé, c’est maintenant le temps de l’utiliser. C’est pour connaître la grâce de Dieu. Mais j’ai besoin d’entrer dans l’intimité de Dieu, d’être dans sa présence.

Jeudi 6 juillet 2001 – camp à Sevrier – moment de partage avec Josiane PAGET de Thonon – ce qu’elle a reçu pour moi pendant la louange l’après midi
« tu as été dans une église légaliste. Mais le Seigneur veut te donner une révélation particulière et très forte de la grâce, à travers ce que tu vas vivre, ce sera une guérison aussi pour tes parents ».

La veille, Josyane a ressenti quelque chose de très fort pour moi, par rapport à un serviteur de Dieu. C’est un prophète, appelé à amener le réveil dans différentes églises, appelé à voyager. Elle ne m’a cité ni son nom, ni son prénom en me disant « si c’est la volonté de Dieu, il conduira. Une union c’est quelque chose de beaucoup trop important, pour faire les choses à la légère ». Elle m’a juste dit qu’il avait 2 enfants et qu’il était divorcé.

Quand elle m’a parlé de sa situation, j’ai eu un mouvement de recul intérieur « il est divorcé ! », toujours par rapport à ce qui se pratique dans mon église (parce que, pour ma part, j’ai réalisé que le remariage est possible pour une personne divorcée à travers la lecture du livre de Derek Prince « Dieu est un faiseur de mariage » – voir l’explication précédente).

Puis, toutes les paroles que j’avais pu recevoir cette année sont revenues en mémoire.

Quand je me suis retrouvée seule dans ma chambre, j’ai prié, j’ai demandé au Seigneur « est-ce ta volonté que je devienne la femme de ce serviteur ? si c’est ta volonté, donne-moi ta paix, sinon, donne-moi le trouble ». j’avais déjà eu l’occasion de demander des confirmations de ce genre à Dieu, et j’ai eu l’occasion d’expérimenter la paix de Dieu comme une confirmation d’une direction, et à une autre occasion de ressentir le trouble (ou je me sentais vraiment mal, et où le Seigneur a confirmé ce trouble quand j’ai refait cette prière le lendemain pour demander la volonté de Dieu, où j’ai compris que la réponse était négative). J’avais donc eu l’occasion d’expérimenter à la fois la paix et le trouble comme une réponse de Dieu.

À cette prière que j’ai faite, j’ai ressenti la paix venir sur moi et couvrir tout mon corps !!!

Ma prière a été la suivante ensuite : « Seigneur, je désire ton plan parfait pour ma vie, et rien que Ta volonté pour ma vie. Je sais que j’ai été mise à part depuis longtemps. Maintenant, si c’est ta volonté que je devienne la femme de ce serviteur, je suis d’accord. Mais je désire que ma famille accepte ce mariage comme étant ta volonté parfaite, parce que ce serviteur est un homme divorcé. Et dans l’église, pour le moment, on n’accepte pas de telles unions. Alors accomplis ce miracle dans la famille, dans l’église pour la gloire de ton nom, Seigneur ! je désire que ma famille soit présente à mon mariage, et que je puisse avoir leur bénédiction. Mais je désire la tienne avant tout, mon Seigneur ! »

Quelques jours plus tard, après être rentrée de ce camp, je reçois un coup de téléphone de Josyane qui me transmet les coordonnées de Jérôme. Elle me dit simplement : « voila son numéro de téléphone, il attend que tu l’appelles ! »

Oups !!! Pour ma part, je considérais que ce n’était pas à la fille de faire le premier pas, mais au gars. Enfin, je me mets à prier : « Seigneur, qu’est-ce que je fais ? ». Et j’ai eu cette conviction dans le cœur : je ne savais pas ce que donnerait cette communication, quelles seraient les suites, mais il fallait que j’appelle. Et j’ai appelé Jérôme. Nous avons dans un premier temps échangé des banalités, puis nous avons commencé à partager dans le domaine spirituel.

Jérôme : J’avais vécu des choses tellement difficile, j’avais cru comprendre que le plan de Dieu pour ma vie était que j’épouse une autre personne l’an dernier. Alors je ne voulais plus me tromper et m’engager dans une voie qui n’était pas la sienne. Alors j’ai fait cette prière : « Seigneur, si c’est ta volonté, c’est elle qui appellera, et c’est elle qui viendra. Moi je ne bouge pas. De toute façon, si c’est vraiment une femme de Dieu, elle se laissera conduire, puisque normalement, ce n’est pas la fille qui fait tout cela ! »

Ce premier jour : je lui ai partagé que je devais rencontrer l’après midi une ancienne élève, Sylvie, en lui disant que si je gardais contact, c’est que j’avais l’espoir qu’elle donne sa vie à Christ. Et Jérôme m’a rappelé pour me dire d’orienter ma prière de la façon suivante : « il faut lier l’esprit de prostitution sur sa vie », il m’a partagé ce qu’il ressentait dans sa vie, le rejet… et je savais que ces choses étaient exactes parce qu’elle m’avait partagé un peu de son passé. Et j’ai donc prié dans cette direction.

Quand je suis arrivée chez elle, j’avais la pensée de lui proposer de prier avec elle. En effet, elle était enceinte et devait accoucher en début août. Elle vit avec un marocain musulman. Elle était seule au départ (son ami n’était pas là). Mais quand je lui ai proposé la prière, elle n’a pas acquiescé immédiatement. Je me dis intérieurement « ce n’est pas grave, je lui proposerai plus tard ». Mais tout compte fait, son ami est arrivé, sans qu’on ait l’occasion de prier ensemble, et je me dis « c’est cuit maintenant, je ne pourrai plus prier ». ERREUR HUMAINE ! en fait, dès qu’il est arrivé, il a commencé à parler de la foi, et nous avons eu l’occasion de partager ensemble, jusqu’au moment où nous avons pu prier ensemble. Quand j’ai proposé la prière, il a eu l’air surpris. Et Sylvie lui a dit : « ’tu n’as rien à faire, tu laisses faire ! ». J’ai prié pour eux, et je me disais dans la tête : « oh, c’est nul, c’est une prière nulle ». et j’ai relevé la tête quand j’ai fini de prier. Alors j’ai été très surprise : son regard avait changé. Il s’était passé quelque chose dans son cœur. Quoi, je ne sais pas, mais il s’était passé quelque chose.

J’étais vraiment heureuse de ce moment. J’ai pu le partager avec Jérôme à mon retour à l’appartement. C’est toujours ce dont j’avais rêvé, une telle efficacité dans la prière !!!

Nous avons beaucoup partagé au téléphone dans les jours qui ont suivi, et nous nous rendions compte qu’il y avait beaucoup de points communs ; nous nous rejoignions beaucoup au niveau spirituel. Dès le premier jour, nous avons commencé à prier ensemble. J’ai ressenti pour ma part quelque chose de très fort en priant le jeudi (2 jours après notre premier coup de téléphone) : comme une alliance, quelque chose de scellé dans le ciel. Jérôme l’a ressenti le lendemain.

Nous étions en paix. Nous ressentions la joie, mais pas de l’excitation.

Je m’étais inscrite à un autre camp chrétien, le CIJEM (à visée d’évangélisation), organisé par les Assemblées de Dieu. Il avait lieu à Paris. Il était suivi d’une semaine de mise en pratique, une semaine dans une église pour évangéliser. J’avais en pensée de faire cette semaine également, dans une église proche de la mienne, l’église de Douai. Mais le Seigneur a travaillé mon cœur par rapport à cette deuxième semaine : ne pas la faire, ne pas remonter dans le Nord, mais descendre sur Lyon pour rencontrer Jérôme. Le Seigneur a fait les choses avec délicatesse : la pensée est venue progressivement (pendant la nuit, où je n’ai pas beaucoup dormi), mais de plus en plus fort, où le cœur était travaillé pour changer les projets !

Le vendredi suivant, je suis partie pour ce camps à Paris, où j’ai retrouvé 2 amies rencontrées lors d’autres CIJEM à Gap. Je parlais d’elles à Jérôme, et pour l’une comme pour l’autre, le Seigneur lui a révélé des choses de leur vie. Elles ont pu vivre, l’une, des guérisons intérieures, l’autre des guérisons et délivrances. L’une qui n’allait pas bien, après avoir vécu ce temps au téléphone avec Jérôme, nous a raconté la chose suivante : elle était allée prendre sa douche, et l’eau coulait, coulait, elle était bien, et elle avait l’impression qu’une nouvelle vie commençait !

Puis nous avons eu l’occasion de partager notre expérience avec d’autres personnes à différentes occasions, de prier pour elles : à chaque fois, nous avons vu des personnes bénies, encouragées, parfois transformées… Dieu est bon. Nous nous réjouissons d’être les témoins de ce que Dieu fait !
Puis voici les miracles que nous avons pu vivre avec ma famille

En juillet, à la fin de mon séjour chez Jérôme, j’ai appelé mes parents pour leur expliquer la situation. Ils savaient que j’étais chez Jérôme, mais je n’avais encore rien dit en ce qui concernait sa situation (divorcé). Quand je leur ai annoncé, ma mère a pleuré au téléphone, mon père était ébranlé… Ils n’étaient pas du tout d’accord avec cette situation, par rapport à tout ce qui avait été enseigné dans l’église, en ce qui concerne le remariage de personnes divorcées. Je suis rentrée dans le Nord, et le dimanche nous étions en repas de famille. Personne n’a parlé de quoi que ce soit, alors que mes frères étaient au courant de ce qui se passait. Le lundi matin, je reprenais la route puisque j’emmenais Elodie et Emilien dans un camps à Longwy, chez Vincent Fernandez.

Je partageais avec Jérôme ce qui se passait (à ce camps), et il a eu envie de venir. En demandant l’autorisation à Vincent, ça lui a été accordé, sachant que d’autres avaient fait la même demande et cela leur a été refusé ! Jérôme est donc remonté avec Côme et Clément.

Après ce camps, Jérôme est donc remonté dans le Nord avec moi, puisque j’avais un passage obligé dans le Nord jusqu’au moins samedi, puisque avec le groupe ACA, nous devions chanter à un mariage, et je m’étais engagée à être présente.

Jérôme a donc eu l’occasion de rencontrer ma famille dans les circonstances suivantes :
 Nous devions rentrer de ce camps le lundi. Le dimanche soir, la veille donc, j’ai eu un message sur mon portable de mes parents nous demandant de les rappeler (c’est mon père qui laissait le message). En fait, ils nous proposaient de venir manger le lundi midi chez eux, à notre retour du camps;
 Le lundi, juste avant d’arriver chez René et Patricia (puisque nous allions déposer Emilien), coup de téléphone de René : il nous invitait à prendre le repas chez eux. Il a été très surpris d’apprendre que les parents nous avaient déjà invités. Il a donc renouvelé son invitation pour le samedi soir suivant.
 Le lundi midi, nous avons donc mangé chez mes parents. Ils ont été étonnés de l’attitude de Côme et Clément, qui sont très serviables et communicatifs, tout comme leur papa…
 Ils sont revenus manger le jeudi midi. Un moment donné, les enfants sont sortis jouer. Ça a été l’occasion pour les parents de nous ouvrir leur cœur : leur porte nous serait toujours ouverte, mais étant donné la compréhension qu’ils avaient de la situation, ils ne seraient pas présents à notre mariage. Ils nous disaient cela en pleurant, tristes de nous le dire, mais ne faisant en aucun cas la pression. Nous avons ensuite eu l’occasion de prier ensemble, et Papa disait dans sa prière « nous ressentons la présence du Saint Esprit ».
 Le samedi soir, nous étions chez René, où nous avons bien discuté ensemble. Je demandais conseil à René sur la façon de présenter les choses à l’église, et René était bien embêté.
 Mais le dimanche matin, il a présenté lui même Jérôme comme mon futur mari à l’église. les choses ont donc été annoncées clairement à l’église tout de suite.
 Le dimanche, nous avons de nouveau mangé ensemble chez les parents. Mes parents ont demandé à Jérôme de prendre soin de moi, de ne pas me rendre malheureuse !
 Le lundi midi, nous sommes de nouveau passés chez les parents avant de repartir sur Lyon.
 Entre deux, le samedi après midi, après être allés à cette cérémonie de mariage, Karine est passée à l’appartement, nous avons eu l’occasion de partager le témoignage de notre rencontre. Jérôme avait cela sur le cœur. Puis en fait, Karine a pu partager ce qu’elle vivait à cette période, et elle a été encouragée. Elle est revenue le lundi matin, Jérôme lui avait demandé de faire un travail, elle est venue avec ce travail, et nous avons encore pu partager…

En septembre, mes parents m’annonçaient qu’ils seraient présents à notre mariage. Papa me disait que ce qu’il avait compris, c’est que Dieu demande à son peuple de ne pas divorcer. Il le demande à son peuple, et pas à ceux qui ne sont pas son peuple. Quand Jérôme a divorcé, il n’était pas chrétien, et c’est sa femme qui l’a mis dehors, elle voulait vivre avec le meilleur ami de Jérôme !!! Mes parents m’ont impressionné dans cette situation. Malgré leur âge, et tout l’enseignement qu’ils avaient reçu, ils se sont placés devant Dieu, recherchant sa direction

MES ATTENTES PAR RAPPORT AU MARIAGE
(23 FEVRIER 1998 – MISE A JOUR 4 JUIN 2015)

– comportement : respect et amour (que nous puissions nous démontrer, prouver, et dire notre amour). Seigneur, aide moi en cela !

– qu’il puisse être un homme selon ton cœur, un homme bon, au regard doux,
– qu’il soit un homme de prière,
– qu’il puisse être quelqu’un d’actif dans l’église : mari engagé, actif dans l’église, affermi (il y a des années de cela, j’ai demandé au Seigneur un mari qui L’aime, plus que moi, je ne l’aime),
– que nous sachions discerner nos priorités véritables (Tes priorités Seigneur, afin de ne pas perdre notre temps),
– que nous sachions nous mettre à l’honneur, ne pas nous écraser par notre personnalité, mais nous encourager (J’aime faire des choses dans l’église, mais j’ai besoin d’encouragements), et être des aides efficaces l’un pour l’autre, que nous formions une bonne équipe,

– que chacun de nous, au sein du couple, puisse prendre la part de responsabilités qui lui revient, lui en tant que chef de famille, moi en tant qu’épouse,
– qu’il puisse être quelqu’un de « communicatif », j’aime également le contact avec les autres, et que nous sachions communiquer l’un avec l’autre,
– que nous puissions être des amis véritables, de vrais amis qui partagent, qui peuvent tout se dire : qu’il puisse être mon meilleur ami, que je puisse être sa meilleure amie, sans réserve et sans secret l’un pour l’autre,
– que nous puissions nous sentir bien l’un avec l’autre, à l’aise,
– qu’il n’y ait jamais de mensonges entre nous, mais que nous sachions nous dire la vérité avec amour,

– que nous sachions nous consacrer, nous réserver du temps l’un pour l’autre (qu’on ne soit pas obligés de fixer des rendez-vous pour nous voir, pour discuter !),
– que nous puissions avoir la sensibilité nécessaire pour nous taire quand il le faudra !

– que nous sachions nous comprendre d’un seul regard,
– qu’une tendre complicité puisse nous unir, que nous puissions être satisfait l’un de l’autre, comblés, enivré de notre amour (cf. cantique des cantiques)
– qu’il soit patient, doux avec moi, attentionné et attentif : qu’il puisse me rendre heureuse ; et que je sache répondre à ses attentes, que je puisse le rendre heureux,
– que nous soyons fiers l’un de l’autre,

– avec les années qui passeront, que la routine ne s’installe pas, mais que ce soit un plaisir toujours renouvelé de nous retrouver, après une journée de travail
– que nous puissions nous réjouir ensemble des petites choses, comme des grandes,
– qu’il puisse y avoir une confiance mutuelle réciproque, sans craindre la concurrence.!

– j’aimerais avoir un mari musicien, qui chante et qui aime la musique (souhait, mais pas obligatoire).
– au niveau physique, j’aimerai qu’il soit plus grand que moi, avec les épaules bien larges, un physique agréable, et que nous soyons d’intelligence égale,

– il aura aussi certainement des défauts, tout comme moi, je peux en avoir ! que nous sachions nous accepter, nous aimer comme nous sommes, et si un trait de caractère nous gêne trop chez l’autre, que nous sachions prier pour cela (Seigneur est-il possible de te demander de faire de nos défauts des qualités ?)
– J’aimerai une vie sans dispute, remplie d’amour, de ton amour, que notre couple puisse être un modèle, qui donne envie aux autres de vivre un tel bonheur, pas pour notre gloire, mais la tienne. (qu’ils puissent se dire qu’en l’an 2000 c’est possible !)

– Qu’ensemble, main dans la main, regardant dans la même direction, nous puissions servir notre divin maître et être une bénédiction pour les autres !

– J’aimerai un foyer rempli de paix, de joie, d’éclat de rires ! ou chacun pourra communiquer, s’exprimer dans l’amour ! Que ça sente bon la joie de vivre et l’harmonie !
– que les enfants qui viendront enrichir notre foyer puisse être élevés dans l’amour, le respect de l’autre, avec l’Amour du Seigneur. Que tout petit, ils apprennent à T’aimer !

Seigneur, tu me connais, et tu le connais, je crois que le processus est engagé, et que nous allons nous rencontrer bientôt, Tu nous as choisis l’un pour l’autre à cause de notre personnalité, nos qualités et aussi peut-être nos défauts. Tu sais que cette association sera la meilleure pour nous !
Oui, je crois que tu as en réserve le meilleur pour nous : le meilleur pour moi, la meilleure pour lui.
Tes plans sont parfaits, mais nous avons notre part de responsabilités dans la réussite ou l’échec d’un projet ! Alors que nous sachions discerner et accomplir ce que nous avons à faire !

PS : aide moi Seigneur, parce que j’ai une personnalité très forte, et j’ai vécu seule pendant 8 ans pendant lesquels j’organisais ma journée comme je l’entendais, prenais les décisions toute seule, et là il va falloir penser à deux ! donne moi la souplesse de caractère nécessaire !

 

LE TÉMOIGNAGE PERSONNEL celui de « Jérôme »  SE TOURNER VERS L’ESPRIT son CORPS et son ROYAUME;

« il y a toujours un Dieu qui veille »
« psaume 22-11 Dès le sein maternel j’ai été sous ta garde, Dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu. »

………………………………..

Ce que je voudrais partager avec vous aujourd’hui mon témoignage personnel « les grandes lignes » de ce qui est de se tourner vers l’Esprit et son corps et découvrir son Royaume.

Tout nous sommes nées a deux « jumeaux »nous étions deux grands pré maturer en 1962 avec des carences physiques les jambes.Et m’a maman avez vécu de grandes déception avant cela.

1. J’ai commencé mon chemin avec Dieu a l’âge de dix ans ,suite a des rencontre de « catéchisme » chez une personne très gentille qui nous offrez des gâteaux et on pouvez ramasser des fruits dans son jardins et ensuite  j’ai participé à la « première communion dans l’Église catholique romaine» comme la tradition exiger et j’ai effectué un premier touché de DIEU je savais qu’il exister et que l’on pouvez le prier. Je n’ai jamais adhéré au système du catholique romain car je voyer beaucoup d’incohérence et j’étais pas attirer.

2. Ensuite la vie n’est toute droite ,le rejets ,l’injustice , la méchanceté d’instituteurs, a brisé le scolaire et a déclencher de la rébellion et Le sport de bon niveau national m’a protégé du marasme de la cité et ma propre justice et de l’échec scolaire. Dieu ne nous lâche jamais, plus tard mon chemin à croiser des chrétiens plus engager qui m’ont parler de la nouvelle naissance et du baptême de l’Esprit.

3. J’ai confessé Jésus comme sauveur a l’âge de vingt cinq ans mais la régénération n’a pas était amorcer. M’a vie à était au gré des marées du monde pendant des années, je prier Dieu est c’est tout.M’a vie était sous des liens et des choix qui ne pouvez rien amener de bien.

4. A l’âge de trente un ans à travers un cataclysme familiale et professionnel mon chemin c’est recroiser avec le Seigneur . J’étais dans un échec total  et j’ai crier à Dieu et j’ai croiser le chemin de plusieurs chrétiens très engager ensuite Il y a eu une conversion plus forte avec le baptême d’eau et de l’Esprit et son parler en langues et des distributions de dons et une vie traditionnel ecclésiastique. Et j’ai été bien encadrer et suivie et je remercie les personnes et le Seigneur d’avoir conduit . Et rapidement j’ai eu des responsabilités dans le corps local. Plus tard j’ai était avec un zélé excessif pour la doctrine.

5. Entretemps J’ai eu une grande satisfaction financière et de reconnaissance au niveau du travail.

6. La ou les sauterelles ont tout dévorer le Seigneur reconstruits.Ensuite  Nous avons était obligé de se séparer  du corps local pour vivre un déclic dans une plus grande approche de la réalité de la vrai vie de l’Esprit saint et de la réalité de l’église et de la réalité de son royaume ,dans l’obéissance du Seigneur .

7. A l’âge de quarante et un ans nous avons était dirigé de mettre en place une église locale dans un milieu rural très hostile à l’évangile par la direction de nos appels sous la conduite de l’Esprit Saint .

8. Pendant plus de douze ans nous avons changé est fait un virage à 390 ° est rechercher cette vie de l’ESPRIT rechercher son royaume.

9. Plusieurs années plus tard on s’était rendu compte un grand décalage entre la doctrine est la vie de l’Esprit temps désirer.

10. Puis plus tard en quelques années Dieu m’a conduit dans une grande révélation de sa parole et de  son corps en expériences et en même temps il a effectué de grands miracles et de réalisations en profondeur de la restauration de l’âme et de la réalisation d’un contact permanent et réel en l’amour d’un père.

11. En parallèle j’ai vécu un échec cuisant à travers le travail. Le but de Dieu a était de m’éloigner du monde du travail et le monde tout court. pour m’enraciner de lui -même et m’imprégner de son royaume.

12. Nous sommes passées par la réalisation du vrai corps local en nouveauté de vie d’une profonde régénération- alimentation- sanctification-renouvellement-transformation-construction-conformation et glorification et la vision de la mise en place de ce corps local.

13. Encore plus tard nous avons réalisé « les sept esprits amplifiés » de l’Esprit de sa plus grande puissance pour la construction et préparer le retour du Seigneur.

14. Plus tard nous avons réalisé Matthieu 16 dans une plus grande profondeur et concernant les clés est les portes.Dieu nous a montrer les portes et les clés.

15. Depuis huitt années suite à une suite d’évènement physique et récemment d’un infarctus « et d’expériences extraordinaire avec Dieu » Dieu m’a mis à pleins temps pour lui, et, Je me suis consacré afin d’exposer des travaux écris et de prêter attention à ce que nous montre l’Esprit pour préparer son corps a son retour.

16. « une grande partie des travaux son sur ce site»  Ecclésiaste 11:1 Jette ton pain sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras; »

17. Le Seigneur a montré que dans notre relation avec lui, dans notre vie spirituelle, et dans notre vie d’église, tout passe par lui comme l’Esprit qui entre dans notre esprit « humain» et notre vie par cet Esprit « celui de Dieu » de profiter de toutes ses richesses.

18. C’est  richesses nous amener une maturité est cette maturité est la condition de son retour.

19. À partir de ce moment-là j’ai été consacré sans cesse vers lui et lui seul. Même jusqu’à présent, je pense que ce virage n’est pas arrêté mais est toujours en cours.

20. Nous l’expérimentons tous les jours avec son Église et son royaume.

 

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